L’objectif fondamental du Tuina est de préserver ou de rétablir la bonne circulation de l’énergie et du sang pour le bien-être de l’individu en préservant les déséquilibres organiques, en soulageant les phénomènes douloureux, en levant les blocages et obstructions divers qui peuvent survenir dans le corps, traitant par ce fait non seulement les affections bénignes mais aussi des maladies aiguës et chroniques.
« Si vous ne traitez pas bien ceux que vous devriez traiter le mieux, vous ne traiterez personne ». Mong-Tseu
La médecine Traditionnelle Chinoise, vieille de plus de cinq mille ans, a toujours eu une grande considération pour le massage.
La technique du massage énergétique est même partie importante de l’arsenal thérapeutique de la médecine chinoise actuelle, au même titre que l’acupuncture, la moxibution, la pharmacopée traditionnelle ( plantes, extraits animaux, minéraux).
Le massage thérapeutique, nommé Tuina en chine, est une des perles de ce grand trésor qu’est la Médecine Traditionnelle Chinoise.
Si en Europe nous avons, au début du siècle, ramené de chine l’acupuncture, il faut savoir que nous avons importé la dernière partie de la Médecine traditionnelle Chinoise, en oubliant la partie manuelle que sont les massages et les manipulations. Et pourtant l’acupuncture ne représente en réalité que 15% de la médecine traditionnelle Chinoise.
L’efficacité du massage chinois dépend, bien entendu, des manœuvres effectuées par la personne qui l’execute. Il existe une grande quantité de manœuvres, les unes qui dispersent les blocages d’énergie, les autres qui stimulent l’énergie, d’autres encore qui équilibrent l’énergie dans le corps, entre haut et le bas, la droite et la gauche, entre un organe et un autre.
Quels sont les effets ?
L ‘intérêt du massage traditionnel chinois est de maintenir ou de rétablir la bonne circulation énergétique dans le corps, permettant ainsi santé et longévité.
Le massage chinois est un moyen de préserver l’énergie dans son intégralité aussi bien qualitative que quantitative, et ainsi de maintenir l’individu en bonne santé.
Dans le Qi Gong, qui est la gymnastique traditionnelle chinoise, on trouve quantité d’auto-massages qui permettent de conserver la santé et d’obtenir la longévité.
Le massage chinois se pratique en traitant les trajets énergétiques que sont les méridiens d’acupuncture, les méridiens musculo-tendineux, les points d’acupuncture, les organes eux-mêmes et les différentes zones réflexes du corps, des oreilles, des pieds, le long des trajets veineux, lymphatiques, sur le système ostéo-articulaire, sur les organes des sens, sur les neuf orifices (les fenêtres du corps), enfin sur toutes les composantes du corps.
Le massage chinois comprend un nombre important de manoeuvres différentes ayant chacune leur spécificité, les unes équilibrantes, les autres dispersantes, les autres encore tonifiantes. Certaines de ces manoeuvres sont spécifiques à une zone particulière du corps, tenant compte de l’épaisseur des tissus situés ou non au-dessus des os ou des articulations. Les manoeuvres ne seront pas les mêmes sur un genou ou un coude que sur une masse musculaire comme celle de la cuisse ou des fesses, l’énergie n’ayant pas la même qualité selon que le plan est dur ou plus ou moins mou.
Mais de toute façon, le massage doit toujours être doux et non douloureux. d’ailleurs l’idéogramme de TUINA signifie » la main légère et libre comme l’oiseau ».
De plus TUI veut dire pousser et NA saisir, et quoi de plus merveilleux que de voir ou même de sentir deux mains qui telles deux ailes d’oiseau, s’applique dans un mouvement léger à débloquer les entraves énergétiques sur un corps meurtri afin de lui rendre sa liberté de mouvement et de vie, poussant et saisisant l’énergie vitale.
Lao tseu, un grand sage taoiste, auteur du Tao-Te-king, l’ouvrage de référence en matière de Taoisme, écrivait :
« La cause de mon grand malheur c’est d’avoir un corps, supposons que je n’en eus point, quel malheur pourrait m’atteindre?
ce texte est de Jean-Pierre krasensky du livre TUINA. volume 1 et volume 2. a lire
UN PEU D’HISTOIRE
HYPNOS
Seigneur de tous les mortels bien-heureux
Et de tous les vivants, que nourrit la vaste terre !
Toi qui seul, à tous commandes et viens sur tous.
Enlaçant les corps par des liens, que la forge n’a pas façonnés !
Tu délies les soucis et apaises doucement les peines !
À la douleur tu apportes la consolation sacrée,
Tu sauves nos âmes en les préparant à la mort,
Car tu es né frère de Mort et d’Oubli.
Ô bien-heureux, je t’en supplie, viens avec douceur, et bienveillant,
Protège tes initiés, dans l’accomplissement du divin service. »
Hymnes orphiques, Recueil de Pergame,
Comment parler d’hypnose, si nous oublions « Hypnos » dieu du sommeil, gardien de la nuit, père de Morphée lui même dieu des rêves.
Il est aussi le frère jumeau de « Thanatos », qui personnifie le dieu du sommeil éternel.
Ils sont tous deux fils de « Nyx » déesse primordiale de la Nuit.
Nyx et son frère Erébe dieu des ténèbres, sont les deux premières divinités issues du « Chaos primordial ».
Nous sommes au début des temps et déjà un panthéon spirituel lie les mondes entres eux.
Les facultés d’Hypnos sont si puissantes que même les immortels n’hésitent pas à le solliciter afin qu’il les aide dans leurs projets de batailles et de prise de pouvoir. Sic : HOMÈRE –l’Iliade–
Les mortels aiment aussi considérer Hypnos comme le plus doux et le plus paisible des dieux, cela, parce qu’il vient les soulager, en leur offrant, l’oubli de leurs peines. Il répare les corps des travaux du jour, comme les esprits fatigués des souvenirs du passé, il renouvelle les forces en vue des travaux du lendemain et favorise la projection heureuse d’un avenir plus clair.
Quand Hypnos se penche sur les mortels, c’est son fils Morphée qui porte l’enseignement du père……
Hypnos n’arrive pas dans le panthéon Grec avec l’histoire…
« Il EST »
et ce depuis le début des temps, descendant de sa mère, l’une des deux divinités succédant au chaos primordial.
Sa présence est concomitante à l’évolution du monde depuis le début, il en est l’équilibre.
Il est le socle divin, de la liaison des mondes visibles et invisibles.
A la fois dieu et mortel, il peut être le porteur du sommeil réparateur d’une nuit calme, comme celui qui ouvre les portes du sommeil supérieur, celui qui donne les clés de la connaissance de soi et du monde en modifiant un tant soit peu, le degré d’instancié de son intervention et de son approche sur notre pensée.
Ce sommeil supérieur qui touche et soigne le corps aussi bien que l’esprit, nous en avons aujourd’hui informations avérées de l’utilisation magique ou spirituelle, grâce aux artefacts et lieux de cérémonies découverts, un peu partout dans le monde, pour les plus anciennes aux environs de 100 000 ans (Russie)
Dans ces sociétés préhistoriques de chasseurs-cueilleurs, les hommes allaient dans des galeries souterraines à la rencontre des esprits cachés derrières les parois des grottes, pour communiquer avec eux.
Cette démarche, impliquait la croyance en des mondes différents de celui où l’on vit. Il existait déjà pour eux, un autre monde, celui des esprits.
Ce sommeil supérieur, se crée au cours de cérémonies, vécues dans des groupes humains constitués, Il est l’apanage du personnage le plus important du groupe après le Chef, son état de conscience observable par tous, ouvre la communication entre les dieux et les hommes, il a des visions, Il est capable de voyager dans des univers parallèles et de communiquer avec les esprits qui l’habitent. Il peut voler, se faire aider par l’esprit des animaux et de la nature.
Ce personnage qui connaît les forces de la nature, qui peut parler avec le monde animal, qui défini le moment propice de telle ou telle action, chasse, ou bataille, celui qui porte les qualités particulières de divination, de poésie, de musique, de sorcellerie, de médecine, celui qui est aussi le Guide officiel des Cérémonies, des Rites et des Cultes, celui qui pas le sommeil apparent de la transe, observable pas tous, est le « chamane ». Sa force est de pouvoir entrecroiser les mondes, grâce à la transe il peut apporter une compréhension plus humaine des différents univers comme de possibles et nouveaux potentiels, parce que, l’expérience est basée sur du vécu à la fois spirituel et symbolique dans la jonction devenue possible, entre l’éther et la matière.
Mais Hypnos n’était pas encore baptisé par les Grecs, lorsqu’il y a 6000 ans les Sumériens……
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Le terme « SOPHROLOGIE », est inspiré du grec ancien et signifie « étude de l’harmonisation de la conscience ».
Le mot est créé en 1960 par « Alfonso Caycedo », neuropsychiatre Espagnol d’origine Colombienne.
A son début, ce terme ne faisait que désigner une certaine forme de travail utilisant les techniques d’hypnose, en milieu hospitalier dans le but de soulager les tensions d’ordre physique ou mental des patients en souffrance.
Cette méthode devait permettre aux patients hospitalisés, de prendre conscience de leur état, des souffrances ressenties et de leurs résonances sur le physique comme sur la pensée, pour les aider à devenir acteur engagé, dans le traitement qu’ils se devaient de suivre.
C’est à partir de 1967 que naît véritablement « la sophrologie »
En effet elle va s’enrichir d’une multitude d’autres techniques comme la « méthode Coué » :
Application de la pensée positive, la « relaxation progressive de Jacobson » : relâchement des tensions musculaires,
le « training autogène de Schultz » : auto-relaxation progressive de l’ensemble du corps, par la suggestion), la « phénoménologie » : apprentissage du non jugement,
le « yoga » : stimulation de la respiration et relâchement musculaire et le « zen » : pratique de la méditation.
Toutes ces approches, viennent enrichir les bases hypnotiques de la sophrologie.
A partir de toutes ces inspirations, Caycedo a créé une méthode unique qui sort définitivement du secteur hospitalier dans lequel, il a puisé l’origine de sa recherche.
Il a alors codifié un ensemble de manœuvres de façon très claire et précise. Il a défini des exercices de relaxation dynamique aux mouvements doux, associés à la respiration et aux sophronisations, qui sont des visualisations guidées par la voix du sophrologue, et dont il est le créateur.
La sophrologie devient, par l’utilisation conjuguée de l’ensemble des approches qui lui ont servie de réflexion, une méthode psychocorporelle utilisée comme technique thérapeutique ou vécue comme une philosophie de vie.
La sophrologie, est une Méthode exclusivement verbale, elle agit à la fois sur le corps et sur le mental. Toutes les techniques utilisées, permettent de retrouver un état de bien-être et d’activer l’ensemble du potentiel du recevant. Elle permet aussi, d’avoir un autre regard sur soi, afin d’affronter les défis du quotidien avec sérénité.
La sophrologie :
Améliore la concentration et la perception de son corps
Renforce l’image de soi
Initie à la méditation.
L’amalgame de toutes ces techniques en une seule méthode rend la sophrologie complète et efficace.
Le principe
La sophrologie est une méthode d’investigation et d’harmonisation par des états modifiés de conscience.
La sophrologie utilise des exercices de relaxation statiques et de relaxation dynamiques qui visent à créer un nouveau vécu corporel permettant de développer positivement les capacités du pratiquant.
Afin d’optimiser ce vécu, le sophrologue amène le pratiquant à modifier son niveau de vigilance entre veille et sommeil et le guide dans son propre espace intérieur afin de parvenir à trouver l’origine de ses préoccupations et lui donner les moyens de les surmonter.
Il peut effectuer des séances individuelles ou de groupe.
La sophrologie permet de mieux gérer le stress de la vie quotidienne, de lutter contre certaines dépendances, d’éliminer les troubles du sommeil, comme les phobies et les angoisses. Elle permet aussi, d’appréhender plus correctement, notre vision des évènements jalonnant notre vie et d’y faire face.
La sophrologie, peut s’apparenter à une prise en charge volontaire de « soi », par « soi » en choisissant de prendre un intermédiaire compétent, dont les capacités, sont de nous guider grâce aux bienfaits de cette méthode vers un équilibre personnel de meilleure qualité.
Cette pratique n’est cependant pas reconnue par les organismes sociaux et à ce titre n’est pas remboursée par la Sécurité Sociale sauf si pratiquée par un Médecin généraliste ou autres spécialité.
« Il n’est pas nécessaire de croire au REIKI pour qu’il agisse sur vous. Il n’est pas nécessaire de croire qu’un fruit est délicieux pour s’en régaler. Il suffit de commencer par y goûter ».
Le terme REIKI est un mot japonais désignant l’énergie universelle vie. Cette énergie est partout et n’appartient à personne ni à aucune méthode en particulier. Elle est accessible à tous.
La méthode REIKI est une méthode qui a été élaborée et transmise par Mikao Usui au Japon entre 1922 et 1926 et qui utilise l’énergie universelle de vie sous le terme REIKI. Cette méthode est définie par des techniques spécifiques dont les techniques énergétiques proches des arts martiaux.
Les initiations REIKI sont des transmissions d’énergie comme on en trouve dans d’autres traditions. Elles ne donnent aucun pouvoir, mais sont des aides à la pratique de la méthode REIKI, ainsi qu’au travail sur soi.
REI : est l’énergie Universel de vie, celle qui nous entoure, nous constitue ainsi que toute chose : le grand tout, l’univers, les atomes…
KI : énergie qui est en chaque être vivant, qui englobe tous les aspects à quoi s’identifie l’être humain : corps physique, émotionnel, mental, esprit. On appelle le Chi dans d’autres traditions.
Il n’y a donc rien au monde qui ne soit pas Reiki !! tout est énergie.
REIKI : Energie Vitale Universelle.
Les 5 principes du REIKI :
1/ Ne te mets pas en colère
2/ Ne te fais pas de soucis
3/ Vis avec gratitude
4/ Vis et travaille avec conscience et honnêteté
5/ Respecte tout ce qui vit et sois compassion
Le Reiki est une thérapie holistique (qui prend en compte toutes les parties de l’être) naturelle qui par l’apposition des mains sur soi ou d’autres et grâce aux initiations reçues auparavant, va permettre de canaliser l’énergie Universelle de Vie et de la retransmettre.
Une séance de Reiki consiste à une transmission d’énergie du praticien vers un receveur.
Le receveur est en position allongée, sur une table de massage. Il reste toujours vêtu.
Il n’est aucunement nécessaire que le receveur quitte ses vêtements pendant la séance.
Le praticien positionne ses mains à quelques centimètres au dessus du corps du receveur. Les gestes du praticien se font selon son ressenti et celui du patient. Il agit sur les déséquilibres énergétiques en particulier, mais aussi sur des zones ou des organes si cela est nécessaire.
Progressivement le receveur ressent une sensation de bien-être qui débute par une relaxation et s’accompagne d’une diminution des douleurs et des tensions.
Quand la séance est terminée, le receveur se relève tranquillement, car on peut souvent observer un état «cotonneux» qui ne durera pas.
Les effets de la séance de Reiki se font sentir pendant plusieurs heures après, parfois plusieurs jours.
La séance dure environ 45mn à 1h.
On travaille souvent en 4 séances afin d’apporter un soin profond et complet.
Le soin Reiki peut se faire même si le receveur et le praticien sont l’un à distance de l’autre.
La transmission d’énergie n’est pas perturbée par des obstacles géographiques. Dans ce cas, la séance est plus courte car elle demande plus de concentration au praticien. Une séance à distance est tout aussi efficace qu’une séance en présence.
Bien que la pratique du Reiki ne peut substituer à un traitement médical, il est à noté que les effets du Reiki n’ont pas été officiellement reconnu par la médecine. Il en va de chacun, de sa propre expérience, sa propre sensation.
D’après ce qu’on peut lire sur le Reiki, Voici les effets non prouvés par la médecine :
Veuillez trouver ci-dessous nos thérapeutes pratiquant le Reiki sur www.ces-ames.fr
Le Qi Gong est un art de santé s’inspirant de la pensée médicale chinoise. Le Qi Gong est une gymnastique basée sur les notions de l’énergétique traditionnelle chinoise qui allie le Mouvement, la respiration et la concentration; Elle regroupe un ensemble d’exercices dont les formes sont très diversifiées.
Les effets d’une pratique régulière du Gi Gong sont nombreux :
– Amélioration des capacités respiratoires
– Assouplissement des articulations
– Favorisation de la circulation sanguine
– Amélioration de la concentration
– Détente et calme
– meilleur gestion du stress
Véritable source du bien-être, la pratique du Qi Gong est un travail corporel complet qui permet de préserver l’équilibre et de réaliser l’harmonie entre soi et le monde qui nous entoure.
Le Qi gong de la femme :
La découverte du corps énergétique de la femme passe par des mouvements Yin, très souples et gracieux, basés sur la physiologie féminine. C’est aussi un travail de Nei Gong ( nourrir l’interne.)
Le Qi Gong de la femme permet de. :
– Régulariser l’équilibre hormonal aux différents stades de la vie.
– retrouver l’équilibre des émotions nécessaire entre le corps et l’esprit.
– Favoriser la tranquillité du coeur.
– découvrir le plaisir d’être femme.
Il n’y a pas d’âge pour travailler les énergies du corps.
La naturopathie est une médecine traditionnelle occidentale, non conventionnelle, reconnue par l’OMS. Son approche est holistique c’est à dire qu’elle s’intéresse à l’individu dans sa globalité au sein de son environnement.
La naturopathie ne guérit pas, au sens médical du terme.
Elle agit sur les déséquilibres du terrain, à la recherche de la cause première des troubles de la personne.
Elle donne ensuite au corps les moyens de se régénérer en permettant de mobiliser ses capacités d’auto guérison.
La naturopathie s’appuie sur un ensemble de méthodes naturelles appartenant aux médecines complémentaires, comprenant l’alimentation, la phytothérapie (l’étude des plantes médicinales) et l’aromatothérapie (huiles essentielles) et l’hydrologie (propriétés de l’eau).
La naturopathie comporte également l’exercice physique, la gestion du stress et des émotions, les techniques manuelles, respiratoires et de relaxation pour ne citer que les principales. Ces méthodes visent à instaurer une bonne hygiène de vie et à développer la force vitale de l’organisme dans le but de maintenir un état de santé optimal.
D’ou vient la Numérologie
La numérologie sumérienne
Le stylet des Dieux
C’est à Sumer, dans ce grand pays situé, entre le Tigre et L’Euphrate, que le Dieu Poisson Oannès vient enseigner aux homme la civilisation.
C’est par Oannès que « Le signe » crée par le stylet est enseigné à l’homme afin de pouvoir traduire la parole comme le nombre, cela, apparaît pour la première fois sur un support capable de traverser les siècles…
Nous sommes 4000 ans avant notre ère, des tablettes d’argile fraichement extraite du lit du fleuve, sont gravées pour l’éternité nous offrant pour toujours, les noms de leurs Dieux ainsi que leur nombre.
Dès cette époque, d’avant le Déluge, le nombre est associé au nom, « le nombre est le nom, comme le nom est le nombre ».
Ils sont tout deux indissociables. Dans l’écriture comme dans la pratiques des rites, cette association est considérée comme l’élément fondamental de la civilisation.
« Nisaba », déesse de l’écriture et de l’enseignement, préside à la science des nombres et cette science a de multiples usages : Magique d’abord, cryptographique ensuite, divinatoire certainement.
Un exemple vieux de presque trois millénaire, nous compte l’histoire d’un roi bâtisseur.
Le Roi Sargon II, décida un jour de construire toute une ville autour de son palais qu’il nomma Sarru-Kïn (actuellement) ville de Khorsabad. Dans ses mémoires, il écrira : « Je fis le circuit de la muraille extérieure de la ville avec le nombre de 16 283 grandes coudées, qui est le nombre de mon nom », soit la manifestation du nombre de sa personnalité
Et ce roi, devait avoir du gout !!!
Pythagore : Le père de la numérologie moderne
Pythagore essentiellement intéressé par les principes derrière les mathématiques, a estimé que « l’univers pouvait s’exprimer à travers des nombres », créant un système mystique relayé par d’autres philosophes grecs de l’époque.
Parallèlement à cette découverte, dans l’histoire hébraïque précoce, l’interprétation des nombres était considérée comme très importante. Les lettres de l’alphabet hébreu étaient basées sur des nombres, et cette relation était liée aux forces cosmiques. En plus des significations occultes des nombres, un autre principe est fondamental pour la numérologie, celle du « Gematria » ou du « Cryptographe ». En hébreu, les consonnes sont utilisées comme signes numériques, mais en leur fournissant des voyelles, on peut souvent les lire comme des mots.
Ces mots peuvent être lus comme des nombres. Une combinaison du système Gematria avec la symbolique du nombre Pythagoricien a servi de base aux nombres magiques de la Cabale médiévale. Ce système a également été appliqué au grec et au latin
Sur cette base, la numérisation actuelle, est devenue très importante dans les recherches relatives aux diverses énergies qui nous entourent. Elle corrobore le principe selon lequel l’univers entier est composé de motifs mathématiques.
En conséquence, toutes les choses, (y compris les noms, les mots, les dates de naissance, les lieux de naissance), peuvent être réduites en nombres afin de déterminer les personnalités et les destinées des individus.
Comment fonctionne la numérologie.
Les calculs en numérologie sont basés sur le principe de la réduction théosophique.
On remplace chaque lettre du mot ou de la phrase voulue, par un nombre.
Pour cela, on utilise un tableau (tableau des neuf nombres ou alphabet de Tripoli).
On additionne ensuite les nombres pour obtenir un total.
Si celui-ci est supérieur à 9, on additionne les chiffres qui le composent et on répète l’opération jusqu’à obtenir un nombre entre 1 et 9 (exemple : 23 → 2 + 3 = 5).
D’autre part, la numérologie fonctionne sur la base de l’alphabet, elle met en évidence l’importance de l’utilisation des lettres en corrélation avec les nombres.
La discipline de la Numérologie ramène tout à des nombres. Ainsi, la somme des chiffres composant notre date de naissance correspond à un chiffre, appelé
Nombre de Destinée ou Chemin de Vie.
La somme des lettres de notre prénom indique notre
Nombre de Personnalité,
Alors que la somme des lettres de notre patronyme représente notre
Nombre Héréditaire.
Le nom complet, prénom(s) et Patronyme, réduit à un chiffre de 1 à 9, définit notre
Nombre d’Expression
Les consonnes du nom complet forment le
Nombre de réalisation.
Les voyelles du nom complet forment l’élan spirituel, il est ce que désire l’âme, c’est le :
Nombre intime ou nombre d’aspiration
Signification des nombres.
0 Le zéro n’est pas pris en compte en numérologie. Cependant, lorsqu’il fait partie d’une date de naissance, il indique la Lune et ses caractéristiques, l’intuition et la sensibilité en particulier.
1 Indépendance d’esprit et action.
2 Equilibre et qualités émotionnelles.
3 Optimisme et communication.
4 Rationalité et lucidité.
5 Innovation et liberté.
6 Sensualité et pacifisme
7 Idéalisme et spiritualité.
8 Logique et organisation.
9 Humour et légèreté.
11 Intuition et apaisement
22 Altruisme et sens de la réflexion
Pourquoi ne pas franchir le pas de la connaissance ?
Alors comment et pourquoi ne pas recevoir, en essayant de comprendre aujourd’hui encore, la force du rapport de la lettre au nombre et du nombre à la lettre ?
Comment ne pas concevoir que notre nom, notre prénom, notre date et notre lieu de naissance, que tous les nombres récurrents qui s’invitent en permanence dans notre parcours de vie, que les mots et les noms qui s’inscrivent dans notre passage, n’aient pas tous, autant qu’ils sont, une influence, en même temps qu’un sens ésotérique à nous apprendre et que nous ne voyons pas au premier regard.
Tout cela, jalonne de manière surprenante notre existence sur cette terre.
Depuis le moment de notre naissance jusqu’au dernier moment de notre dernier jour les nombres qui nous entourent ont obligatoirement une force cosmique à nous communiquer.
A nous de retenir les bonnes vibrations et à travailler à l’amélioration des éléments que nos divins parrains et marraines n’ont pas laissés au dessus de nos berceaux.
Comprendre la force de la numérologie, dont le terme signifie :« La science des nombres symboliques », n’est pas œuvre de modernité.
Cette pratique nous vient du fond des âges, très certainement bien en deçà de la protohistoire, car si la préhistoire, fut sans écriture, il n’est pas pas moins évident, que l’homme de ce temps est bien notre ancêtre et qu’a ce titre, il possédait une tête et un corps, une parole pour communiquer et un esprit pour définir une autre forme de langage que se soit par le corps, la pensées, les actions, les croyances.
Pour tout cela et nous le savons aujourd’hui, l’utilisation symbolique des formes, du geste, du dessin, était totalement présente dans leurs civilisations. Approcher la numérologie, c’est redécouvrir une discipline millénaire, respectée depuis la Grèce Antique, la Chine, l’Inde en passant bien sur par l’Egypte.
C’est faire notre, la théorie de Pythagore selon laquelle rien de ce qui nous entoure ne pourrait exister sans les nombres……
C’est rendre hommage aux civilisations anciennes, qui nous ont tout appris, du maintien de la santé du corps, comme de celle de l’esprit, qui nous offre encore aujourd’hui des traces de la riche présence dans leurs vies du spirituel et ce, par une information que nous pourrions juger simplement matérielle, si nous n’avions pas acquis le sens du message spirituel derrière le trait, le dessin, ou la position mortuaire des corps, comme de leur orientation dans l’espace.
Ces peuples, tous riches de cette belle clairvoyance dans la connaissance de la temporalité de la vie, comme dans la permanence de l’univers, (encore qu’il semble grâce à l’aide de Hubble que ce ne soit plus la réalité scientifique et que soit admise aujourd’hui la théorie de l’impermanence de l’univers), nous invitent dans leur sillage, à développer notre compréhension, entre la vision naturelle et simple des matières et des actions et ce qui est au delà de ce premier regard.
Faire le choix de la connaissance de ce qui nous est dit, dans le secret de la transmission. Alors, le symbolique prend le pas et ouvre le passage vers la pensée réfléchie en lieu et place du seul visuel simple et immédiat.
Soyons des chercheurs infatigables du passage à emprunter, afin de faire la meilleure différenciation possible entre la vision naturelle et la vision sublimée.
L’expression de ce que nous sommes par la numérologie et un portail fabuleux.
A découvrir seul ou accompagné, c’est grandir sans limites…..
La tarologie
Petite initiation sur un vocabulaire particulier
La Tarologie C’est quoi ?
Par ce néologisme, est représentée actuellement, une authentique approche humaniste, d’une pratique considérablement ancienne.
Le Tarot est redécouvert pour sa fabuleuse richesse d’interprétation de la vie.
Il peut aider à la restructuration de la conscience de soi, grâce à la double possibilité de chaque carte, qui représente avec art, notre parfaite et « humaine dualité ». Elles nous montrent par notre choix, doublé du choix de l’univers que nous appelons hasard, soit notre côté lumineux, soit notre côté sombre.
Fabuleux Tarot, dans lequel il est plausible de visualiser, non pas d’éventuels lendemains qui chantent, mais bien plus ce qu’il est possible de faire pour soi dans le temps présent.
Chacun restant libre de ses choix. Il en retiendra le meilleurs pour ce qui le concerne, et seulement si les cartes parlent à son propre univers.
Il n’en reste pas moins que la Tarologie reste une forme de cartomancie ou d’art divinatoire exercé à l’aide d’un jeu de Tarot.
Qu’appelle t’on « art divinatoire »
C’est une pratique qui regroupe un ensemble de croyances, propres à « l’occultisme » qui dans sont sens premier veut dire « caché » ou « Secret », « qui ne se transmet que d’une manière initiatique ». On devient un initié ou pas.
L’art divinatoire, se compose de : l’alchimie, l’astrologie, la magie, la divination, et la médecine occulte chacune de ces techniques touchent aux secrets de la nature comme à ceux des mondes invisibles.
La Tarologie est donc une science initiatique, au même titre que la voyance, qui se situe dans la lignée des sciences de l’oracle comme le faisait jadis, « la Pythie » grande prêtresse du temple d’Apollon à Delphes.
Elle reste une forme de Cartomancie expliquée à la lumière de la « science sacrée ». Cette appellation est attribuée à rien d’autre qu’au tarot des bohémiens issus lui même du tarot Egyptien, qui très certainement venait aussi d’une autre culture.
Rien n’est impossible dans les transmissions surtout lorsque l’oralité et la pratique étaient les seuls vecteurs de passage de mémoire.
L’ancienneté reconnue sur l’ensemble de ces connaissances, spirituelles, sacrées, initiatiques, y compris depuis l’époque Néanderthalienne, nous permettent-elles de croire qu’elles sont pour nous, d’une richesse incommensurable et de l’imaginer comme le virtuel, mais le plus précieux « ancien livre sacré du monde ».
Pour plus d’informations
Le jeu de Tarots, transmis par les Bohémiens de génération en génération, est le livre primitif de l’antique initiation, ainsi que l’ont montré Guillaume Postel, Court de Gébelin, Etteila, Éliphas Lévi et J.-A. Vaillant.
La clef de sa construction et de ses applications n’a pas été, découverte jusqu’ici.
Un livre :
« L’histoire du tarot » par Isabelle Nadolny
L’histoire est fort méconnue. Si de nombreux livres abordent sa pratique ou ses significations, les rares publications historiques existantes circulent peu en dehors du cercle des chercheurs. entend y remédier en proposant au grand public un vaste panorama du tarot à travers les siècles. Cette présentation est assortie d’illustrations issues des fonds de la Bibliothèque nationale de France, de collections privées ou publiques, qui, pour certaines, sont publiées ici pour la première fois. Toute personne ayant prêté attention à ces cartes à la fois simples et mystérieuses est naturellement amenée à se poser quelques questions : sait-on vraiment d’où vient le tarot ? Comment fut-il constitué et dans quel but ? N’est-il qu’un modeste jeu de cartes, et si oui, pourquoi est-il devenu un des piliers de l’ésotérisme contemporain ? Le néophyte intrigué et le praticien expérimenté trouveront dans ces pages un compte rendu des connaissances actuelles sur le tarot et son histoire, basées sur les documents d’archives, l’iconographie originale, des textes et tarots anciens. Bien loin de vouloir imposer une vision, l’auteure livre le fruit de ses recherches par le biais de cette prudente grille de lecture : ceci est avéré, ceci est probable, ceci est incertain. De nombreuses reproductions enrichissent cet exposé historique, en commençant par les tarots Visconti aux splendides enluminures. Depuis le berceau antique, où déjà jeu et divination s’entremêlent, au Moyen Âge dans lequel s’ancre aussi la symbolique des couleurs et figures, des œuvres de la Renaissance italienne au mouvement occultiste français du XIXe siècle, l’Histoire est convoquée pour expliquer le tarot. Entre autres trouvailles, l’auteure dévoile également dans ce beau livre les plus anciens tirages et interprétations du tarot. Extraits du fond des âges de la cartomancie, certains de ces écrits n’avaient jamais été divulgués jusqu’alors. Explorez les arcanes d’un système pluriséculaire, joyau culturel de l’Europe.
Ce livre est clairement à posséder pour quiconque s’intéresse au Tarot de près où de loin. Il possède une abondante iconographie, il est rédigé dans un style clair et accessible. Son approche strictement historique lui permet de couper
court aux hypothèses – c’est là sa force, mais aussi sa faiblesse, paradoxalement. Car s’il m’est précieux pour la somme de faits indiscutables qu’il recense à propos du Tarot, il laisse mon coeur de côté, et plus que mon coeur : une partie de moi qui aimerait voir les principales hypothèses examinées avec le regard critique qui est celui de l’auteur. Car s’il est honorable de s’en tenir aux documents existants, il ne reste pas moins plus que plausible de conjecturer que les cartes en papier antérieures à l’imprimerie n’ont pas su résister aux atteintes du temps, et que s’il n’y a pas de documents, c’est qu’elles n’ont pas pu se conserver. C’est la seule et plus grande myopie de l’approche historique. Il reste qu’elle est incontournable, et qu’Isabelle Nadolny lui fait honneur.
En cours de construction.
Cette page sera bientôt visible.
Merci pour votre patience…
L’équipe ces-ames.
Magnétisme, Reiki, Coupeur de Feu… Comment s’y retrouver ?
Guérisseur, rebouteux, coupeur de feu, voire sorcier sont les définitions employées par le grand public pour décrire un magnétiseur.
Qui n’a pas entendu parler du coupeur de feu dans le village, qui a fait un miracle à tel personnes …
Grâce à ses patientes, le cancérologue a constaté que les coupeurs de feu pouvaient les aider, tout comme d’autres médecines complémentaires.
Daniel Serin est cancérologue, vice-président de l’Institut Sainte-Catherine à Avignon, rédacteur en chef de la revue Psycho-oncologie. Des dizaines de patientes lui ont confié faire appel à des coupeurs de feu. “C’est étonnant, des êtres se disent investis de pouvoirs faisant disparaître les douleurs liées aux brûlures. On n’a aucune explication scientifique.”
Comment les rayons X agissent-ils ?
Ces radiations électromagnétiques portent de l’énergie et rencontrent les atomes qui les freinent. L’énergie de freinage produit de la chaleur. Quand on multiplie les séances de radiothérapie, on augmente la chaleur dans l’organe irradié. C’est physique.
Que pensez-vous des coupeurs de feu ?
Il y a bien longtemps que les femmes me parlent d’acupuncture, d’homéopathie, de psychologues, de coupeurs de feu. Aujourd’hui, les statistiques mondiales établissent que 60 à 80 % des gens atteints de cancer font appel aux médecines complémentaires. Les coupeurs de feu, ça marche dans 80 % des cas. J’ai des tas de patientes qui y ont recours. Soit elles sont toutes folles, soit il se passe quelque chose que je ne suis pas capable d’expliquer. Il ne faut pas être bête : “Si cela peut vous faire du bien, faites-le !” Faites-le parce que votre qualité de vie dépend de multiples facteurs. Je ne comprends pas comment ça marche, mais ça marche !
Vous avez pourtant organisé un congrès intitulé “Cancers et pensées magiques”.
La pensée magique en tant que pensée philosophique que nous avons tous en nous. On peut avoir un rapport aux événements qui sont irrationnels, cette irrationalité fait partie de notre humanité. Les coupeurs de feu font partie de notre humanité dans ce qui n’est pas accessible à la raison. Et sans l’irrationalité, on mourrait, elle permet de nous échapper de la vie dans ce qu’elle a de plus rude. Les coupeurs de feu interviennent à un moment de ma vie, et ça marche ! Même par téléphone. Il est donc dans la pensée magique. Nous sommes un corps et un esprit, il y a une interaction manifeste. C’est génial et ça ne coûte rien à la Sécu !
Quelles précautions faut-il prendre ?
Faire attention aux charlatans, qui en veulent à votre argent, et aux dérives sectaires. Sinon, notre rôle de thérapeute est d’écouter et de ne pas juger, même quand on ne peut pas valider scientifiquement une approche. Quand une dame vous dit “je sais pourquoi j’ai ce cancer du sein”, elle donne du sens à l’insensé. Elle crée un lien avec cette personne qui l’aide dans la vie, qu’elle soit psy ou coupeur de feu. C’est intangible. L’humain est complexe ! Ne séparons pas le corps et l’esprit. C’est un débat philosophique.
Des pistes scientifiques existent-elles ?
Oui, grâce à la physique quantique et à la biologie moléculaire. Hippocrate avait formulé l’hypothèse que le cancer du sein était causé par des “humeurs noires”. La réponse, on ne l’a toujours pas. Il y aura toujours des pans de connaissances à découvrir. Mais ce n’est pas parce que ce n’est pas rationnel qu’il faut mépriser. À l’inverse, il ne faut pas mettre ces pratiques sur un piédestal.
Comment abordez-vous la prise en charge du cancer ?
Pour moi, les quatre armes sont la chirurgie, les rayons, les médicaments et la parole. On rejoint les coupeurs de feu. La parole est un traitement efficace, voire essentiel. En 1998, lors des États généraux des malades du cancer auxquels participaient 3 000 personnes, à la question “Qu’est-ce que vous attendez ?, la réponse fut : des médecins plus humains, qui prennent le temps d’écouter et de parler. Grâce aux Plans cancer, on a amélioré la relation soigné-soignant.
Que pensez de cette histoire de prière ?
Vous me l’apprenez… Cela rejoint l’importance de la parole. Depuis quelque temps, on s’est aussi rendu compte des effets de la méditation dans l’approche des maladies chroniques. Il y a les soins de support, comme définit par la Sécurité sociale(*), et les soins de confort, selon les modes. En tout cas, en cancérologie, la place thérapeutique des médecines complémentaires est reconnue. Leur accès fait partie des critères d’accréditation d’un établissement.
Même les plus septiques qui ont eu à faire a ce genre de guérisons en reviennent changés. « croire ce que l’on voit «
Le magnétisme est ancestral, une médecine douce, alternative, auxquelles de nombreuses personnes ont recours.
Quand avons nous besoin de faire une séance ?
Tout simplement quand l’énergie du corps est perturbée ( stress, choc émotionnel, deuil, formes et pensés ).
“Aujourd’hui, le magnétisme, intervient là où la médecine conventionnelle échoue, par exemple en cas de zona, stress, douleurs chroniques,”
Cependant, la prudence est de rigueur, car le magnétisme n’est pas une science qui se prouve, et bon nombre d’imposteurs s’en donne à cœur joie.
Vous trouverez dans l annuaire ces-ames.fr une liste de magnétiseurs, de coupeurs de feu, de thérapeute soins esséniens, de coupeurs de feu, de guérisseurs.
Prenez le temps de parler avec lui au téléphone de votre problématique.
Juger par vous même est une position juste. Ce qui fonctionne sur vous peut ne pas fonctionner sur l autre et vice et versa.